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À l’échelle mondiale, les communautés trans comptent parmi les plus lourdement affectées par le VIH, alors qu’elles sont parmi les moins reconnues dans les politiques, les moins bien servies par les programmes et les moins soutenues financièrement aux échelons national, régional et international. Les données disponibles indiquent un fardeau de VIH considérable, dans les communautés trans. Une série de facteurs interconnectés contribuent à la vulnérabilité, y compris d’ordre biologique, comportemental et structurel, ainsi que les déterminants sociaux de la santé. La récente Stratégie de l’ONUSIDA 2016–2021,  Accélérer la riposte pour mettre fin au sida , indique que les personnes trans sont une des populations clés nécessitant une attention spécifique.

Le document se veut un outil de plaidoyer pour faire en sorte que les priorités et besoins spécifiques des
femmes, des personnes trans et des filles soient inclus dans la prochaine génération de travaux de recherche sur le VIH qui seront réalisés au Canada.

Il existe relativement peu d’information digne de confiance en ce qui a trait aux taux de prévalence du VIH au sein des populations trans. Ceci étant dit, de plus en plus d’activités de recherche tentent de combler cet écart. Ces études dévoilent de nouvelles facettes d’une réalité surprenante que les collectivités trans, à l’échelle mondiale, affrontent depuis longtemps. Pour traiter les enjeux liés au VIH qui touchent les populations trans à l’échelle mondiale, il reste encore beaucoup à faire. Ce document vise à fournir une partie des renseignements essentiels pour que ces travaux puissent se réaliser.